Bonjour à toutes,
Aujourd’hui je reviens pour vous présenter le créateur qui fait actuellement battre mon coeur, Octavio Pizzaro.
J’ai eu la chance de découvrir son univers lors de la présentation de sa collection Automne-Hiver 2015-2016 à la maison de l’Amérique latine (je vous glisserai quelques mots sur ce lieu en fin d’article).
Pour celles qui ne le connaissent pas, Octavio Pizarro est né au Chili. Il étudie ensuite en France au sein de la célèbre Chambre Syndicale de la Haute Couture puis exerce au sein de différentes maison : Jean-Louis Scherrer, Jacques Faith ou encore Guy Laroche.
C’est en 2005 qu’il se lance en solo avec une collection d’accessoires, à laquelle se joindra à partir de 2011 une collection de prêt-à-porter.
Influencé par l’architecture, la géométrique ou encore l’art déco, Octavio Pizzaro livre une ligne de vêtements unique, aux notes sud américaines et au style résolument parisien.
Dans sa collection A/H 2015-2016, la prédominance du noir met en évidence un fort contraste de matières.
Maille et cuir, Néoprène et satin de soie forment des associations surprenantes et sublimes.
En regardant les silhouettes, je suis restée pleine d’admiration devant son travail de coupe du vêtement, la précision avec laquelle chaques matières s’accordent, mais aussi devant le magnifique travail de maille qui nous a été présenté.
Vous l’aurez compris, cette collection d’Octavio Pizzaro a été un véritable coup de coeur, et je suis ravie de vous en montrer un petit extrait.
Comme précisé au début de l’article, je ne pouvais pas vous quitter sans vous parler du lieu de la présentation : la maison de l’Amérique latine, ou plus précisément, son jardin.
Une fois la présentation terminée, nous avons pu nous attarder dans ce lieu où règne une sorte de magie. Un calme parfait en plein coeur du 7ème arrondissement de Paris.
Et si je vous parle de ce lieu c’est parce que bien évidement, il est accessible au public. Vous pouvez donc prendre un verre ou manger au restaurant, profiter d’une des expositions du lieu mais aussi le privatiser.
Je vous dis à très vite pour un nouvel article !