VESTIAIRE COLLECTIVE : mon bilan shopping de l’année 2021

Publié le 22 octobre 2021 par Sophietagel @trendyslemagTw

On n’a pas toujours le loisir d’acquérir du luxe à plein tarif. J’ai pris l’habitude de me faire plaisir sur le site vestiaire collective. Petit focus sur mes achats de l’année 2021.

Riche en découverte sur la boutique en ligne, cette année m’a permis de m’adonner à ce que je préfère dans le shopping : l’achat de seconde main.

Un carnet Dior

On n’a pas toutes la chance de recevoir un cadeau Dior comme certaines grandes acheteuses de la maison française. Pour y avoir accès, vous pouvez les retrouver à un prix raisonnable sur le site pour y annoter vos projets professionnels, vos resa vacances par exemple. Celui-ci m’a coûté 55,89€.

Un collier Chanel

Collier Chanel Sac et Pull homme Dior

Marqué du célèbre logo CC de la maison de haute couture, en fluo rose, il était à 240€. Un classique des fans de luxe !

Des B.O. Dior

Ce modèle à clips de la collection Galliano reste d’actualité et ne perd rien de sa beauté malgré le temps. En effet, cette version toujours indémodable avec ses clips ne se fait plus. 120€. Elles étaient initialement vendues 265€ sur le site.

Des Ustensiles de cuisine Saint Laurent

Ce sont deux nécessaires pour la cuisine : un ouvre bouteille à 65€ et un décapsuleur à 40€, le tout Saint Laurent. Le but est de donner un cachet plus luxe à la cuisine.

Un cintre Louis Vuitton

Celles qui ont rêvées d’une penderie plus esthétique apprécieront l’idée de remplacer les basiques par les modèles des grandes marques parisiennes. 30€.

Un pull Carven

Pull Carven Cintre Louis Vuitton Sac Fendi

La maison française a une collection à tomber dont ce sweat brodé. De quoi concilier le sport-wear avec la féminité. 35€, très bon prix pour une maison de cette qualité.

La pochette Rimowa

Rimowa est une marque que l’on affectionne pour ses valises et ses sacs originaux. 75€ ( avec -45€ au moment de l’acquisition)

Inutile de préciser que le site authentifie les produits avant leurs expéditions.

Par Sophie Tagel