
Dans la série Quiproquo, sur La Une ou Auvio, Lykos (Amine Hamidou) s’inscrit dans une culture bien précise : celle du streetwear des années 90-2000, réappropriée par une nouvelle génération. Dans le premier épisode, il mutltiplie les survêtements colorés et adopte même une pièce de créateur assez unique. En bref, dès l’épisode 1, c’est clair : Lykos impose son esthétique. Et elle est tout sauf discrète
On le voit d’abord avec un survêtement Sergio Tacchini, orange. Le modèle Carson, que l’on peut encore trouver.

On le voit également avec une veste Lacoste, dans les tons hydro/lapland (turquoise, écru).

Au tribunal, il porte une veste plus stylisée de la marque Lonsdale.

A la fin de l’épisode, il porte cette pièce assez incroyable, qui date d’il y a quelques années, créée par Youth Magnolia
Un style qui ne s’excuse pas
En bref, Lykos ne cherche pas à adoucir son image. Il est entier, piquant, et même borderline. Et ses fringues ne demandent pas la validation de qui que ce soit. Ce n’est pas un look d’arrière-plan. C’est une déclaration. Une sorte de stand-up visuel : il entre dans une pièce, il balance une vérité, il impose son style. C’est du théâtre de rue. De rues de Charleroi.
Cheffes costumières : Léna Rouschop, Carolie Gereduz