Chute de cheveux après 40 ans : mon histoire… et surtout mes solutions naturelles pour retrouver de beaux cheveux

Il y a quelque chose qu’on ne dit pas assez : chez la femme, perdre ses cheveux après 40 ans peut être aussi déstabilisant que de voir apparaître ses premières rides. On croit toujours que la chute de cheveux, c’est un truc “masculine”, lié aux hormones mâles, à la testostérone, à la dihydrotestostérone (DHT), à une calvitie naissante voire à une alopécie androgénétique typique de l’homme… mais en réalité, nous aussi, les femmes, nous perdons nos cheveux, parfois même excessivement.

Et moi, j’ai été servie.

Entre la chute après accouchement, la chute liée aux changements hormonaux, puis la chute pré-ménopause, j’ai eu droit à un combo parfait. À un moment, j’avais l’impression que mes cheveux vivaient un cycle accéléré, façon “je tombe – je repousse – je retombe – je me casse”. Je voyais des cheveux tomber partout : dans la douche, sur mes pulls, dans ma voiture, sur ma brosse… Bref : c’était la chute importante, puis la chute massive, puis la panique.

Table of Contents

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  •  Quand j’ai compris que la chute n’était pas “passagère”
  •  Pourquoi j’ai commencé à perdre mes cheveux : les vraies causes
      • Les FAMEUX facteurs hormonaux
      • Les autres déclencheurs (la vie quoi)
      • Les formes d’alopécies possibles
  • Ce que m’a conseillé ma dermatologue
      • ✔ Une prise de sang complète
      • ✔ Des compléments alimentaires
  •  Ce qui a vraiment marché pour moi (naturel, doux, compatible avec ma vraie vie)
      •  1. Réduire l’inflammation du cuir chevelu
    • 1. Réduire l’inflammation du cuir chevelu
      •  2. Masser, masser, masser
      •  3. Les huiles naturelles
      • 4. La routine anti-traction
      •  5. Accepter de l’aide quand il le faut
  •  Les résultats : mes cheveux repoussent !
  •  Conclusion : oui, on peut enrayer la chute, freiner la perte, et retrouver confiance

 Quand j’ai compris que la chute n’était pas “passagère”

Au début, je me suis dit que c’était juste une chute saisonnière On connaît toutes : chute temporaire au printemps, chute sensible à l’automne. Mais là… ça durait. Et quand j’ai vu ma raie frontale s’élargir, mes golfes plus dégarnis, le sommet du crâne un peu plus clair… j’ai senti la petite alarme dans ma tête.

Je me suis mise à vérifier ma ligne frontale tous les matins (erreur fatale). Je regardais si mes nouveaux cheveux repoussaient, si les bulbes étaient vivants, si mes follicules pileux n’étaient pas au chômage technique.

À un moment, je me suis même demandé si je n’allais pas finir avec un front dégarni, façon calvitie androgénique (Et ça, c’est le genre de crise existentielle que tu ne veux pas vivre à 7h du matin quand tu dois coiffer deux enfants et aller bosser.)

 Pourquoi j’ai commencé à perdre mes cheveux : les vraies causes

Je pensais que c’était juste “l’âge”. Mais la réalité est plus subtile : la perte de cheveux chez la femme est multifactorielle.

Les FAMEUX facteurs hormonaux

  • Des hormones féminines qui baissent. Pour en savoir plus, consultez cet article
  • Des androgènes (hormones mâles) qui deviennent plus influents.
  • Une petite hérédité familiale (merci maman…).
  • Un déséquilibre hormonal qui joue sur le follicule pileux
  • Un excès de DHT, produit par l’enzyme réductase, qui peut accélérer la chute

Bref… rien de glamour.

Les autres déclencheurs (la vie quoi)

  • une carence en fer (ultra fréquente)
  • un manque de zinc, oligo-éléments, acides-aminés, aminés, vitamines (dont vitamines B)
  • une contraception (pilule) qui peut parfois provoquer des chutes
  • le stress (oh que oui)
  • une alimentation pas assez équilibrée
  • les coiffures trop serrées → alopécie de traction
  • des traitements médicaux (certains médicaments, traitements médicamenteux)
  • parfois une pelade ou une alopécie auto-immune
  • et même une maladie de la thyroïde, ou des soucis aux surrénales

Les formes d’alopécies possibles

  • alopécie féminine diffuse
  • alopécie androgénétique (ou androgénique)
  • alopécie de traction
  • alopécie cicatricielle (plus rare)
  • alopécie diffuse
  • alopécie séborrhéique (liée au sébum)

J’ai aussi appris un mot étrange : pilaire En gros, tout ce qui touche le poil. Sympa.

Ce que m’a conseillé ma dermatologue

Ma dermatologue (ou “dermato” comme j’aime l’appeler quand j’ai l’impression d’être une blogueuse beauté pro) m’a conseillé :

✔ Une prise de sang complète

  • fer / carence en fer
  • zinc
  • vitamines B, vitamine B8 (biotine)
  • marqueurs hormonaux
  • thyroïde
  • profil androgénique

On a aussi parlé de choses plus techniques : trichogramme, microcirculation, circulation sanguine autour des follicules, phase de chute, phase de croissance, cycle de vie, etc.

✔ Des compléments alimentaires

Certaines gélules vraiment utiles :

  • levure de bière
  • courge (oui oui)
  • ortie
  • biotine
  • acides-aminés
  • nutriments ciblés

Des compléments qui m’ont fait du bien. (À l’inverse de certains traitements médicamenteux type finastéride ou Propecia, souvent prescrit aux hommes, qui ont des effets secondaires et ne sont pas faits pour les femmes.)

 Ce qui a vraiment marché pour moi (naturel, doux, compatible avec ma vraie vie)

Parce que clairement, je ne suis pas du genre à faire une greffe de cheveux, ni à me lancer dans des implants, ni dans une solution chirurgicale Je veux du simple, du naturel, du faisable.

 1. Réduire l’inflammation du cuir chevelu

1. Réduire l’inflammation du cuir chevelu

D’abord : j’avais des démangeaisons, signe d’une sécrétion de sébum trop forte. J’ai donc :

  • changé mes shampoings / shampooings
  • réduit les lavages
  • arrêté d’agresser ma fibre capillaire

 2. Masser, masser, masser

Les massages du cuir chevelu stimulent :

  • la microcirculation
  • la repousse des cheveux
  • la croissance du cheveu

3 minutes le soir → énorme différence.

 3. Les huiles naturelles

C’est cliché mais vrai :

  • huile de ricin (pour favoriser la repousse)
  • huile essentielle de romarin
  • huiles végétales pour nourrir les cheveux secs, cassants

4. La routine anti-traction

J’ai arrêté :

  • les queues trop serrées (bye-bye traction)
  • les brushings qui cassent (j’utilise une brosse soufflante de Dessange, nouveau modèle)
  • les tresses serrées
  • de dormir avec les cheveux attachés

 5. Accepter de l’aide quand il le faut

Et même si c’est difficile à dire : oui, parfois une perruque ou un complément capillaire peut aider à traverser une zone dégarnie, une période de raréfaction, ou une chute sévère

 Les résultats : mes cheveux repoussent !

Je vous jure, le premier jour où j’ai vu des petits cheveux repoussent le long de ma ligne frontale, j’ai failli pleurer. Mes cheveux existants sont devenus :

  • plus épais
  • moins cassants
  • moins gras
  • plus résistants
  • moins fragilisés par le vieillissement
  • et la perte de cheveux a clairement ralenti

J’ai l’impression de retrouver une chevelure vivante, un peu comme avant que je perdais mes cheveux à chaque changement de saison.

 Conclusion : oui, on peut enrayer la chute, freiner la perte, et retrouver confiance

Perdre ses cheveux quand on est une femme… c’est dur. On se sent moins soi. On se regarde dans le miroir, on voit la frontale un peu plus dégarnie, la nuque parfois clairsemée, les zones dégarnies qui nous rappellent nos peurs.

Mais aujourd’hui :

  • j’ai réussi à ralentir la chute
  • j’ai réussi à enrayer la perte
  • j’ai réussi à favoriser la repousse
  • j’ai même réussi à repousser le problème avant qu’il devienne une calvitie précoce

Et tout ça, sans chimie, sans greffe, sans solutions lourdes.

Juste du naturel. Juste des gestes. Juste de la patience.

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aurelia

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