J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette série photo appelée « Familly Portraits » par l’artiste italienne Camilla Catranbone. En reprenant des objets propres à plusieurs personnes de sa famille, elle réalise par le biais de la photo et d’un set-design minutieux le portrait de la personne. Fonctionnant comme un portrait chinois, les photos évoquent avec pudeur l’univers et la personnalité de chacun. Que ce soit sa mère ou ses grand-parents  l’artiste a su recréer une vision plus intime et plus touchante de la personne, plus qu’un simple portrait ne l’aurait fait. La suite est ici !

Disons que lorsque j’ai découvert Greg Barth, et visionné plusieurs de ses vidéos, j’ai eu l’impression d’être sous hallucinogènes jusqu’à ce que je ferme la page !

Celle-ci s’appelle Fortunes, et met en scène la monotonie des actions du quotidien, avec beaucoup d’humour, et des idées très barrées ! Les images sont surréalistes, et les enchaînements de plans donnent le tournis. Je vous laisse découvrir son univers, très coloré et graphique, travaillé avec minutie.

Je ne sais pas si c’est l’effet post-Noël ou quoi, mais en ce moment je suis particulièrement attirée par le vert émeraude ! Fringue, déco, accessoire, tout y passe ! Et d’ailleurs, j’avais repéré ce petit ensemble blazer/pantalon un peu masculin, très chic mais que l’on n’est pas forcément obligé de porter ensemble si on a peur du all-over. Pour ma part ça ne me dérangerait pas  Blazer et Pantalon Asos, à retrouver ici. (lien affilié)

J’ai beaucoup aimé le travail de la graphiste Dolores Oliver pour le festival vocalistas feministas. La typo a été créée à la main et la mise en page est juste géniale ! Moi qui veut travailler dans le design graphique, ce genre de réalisation m’inspire beaucoup.

The smell of us est le dernier film de Larry Clark, sorti cette semaine. Je n’ai pas eu l’occasion d’aller le voir car il n’est pas programmé dans les cinémas près de chez moi, mais si jamais j’en ai la possibilité je ne le manquerais pas !

Le réalisateur américain en est à son huitième court métrage, et pose cette fois ci ses caméras à Paris. Spécialiste des teen-movie trash, l’histoire se déroule parmi une bande de skateurs s’enfonçant dans la déchéance du sexe, de la drogue et de l’argent facile. L’ambiance sulfureuse de la bande annonce promet !