Les beaux jours sont de retour, accompagnés des incontournables envies de shopping, de grand ménage de printemps, de tri dans son dressing et de rangement des manteaux… Et c’est justement en rangeant mes vêtements chauds que j’ai eu envie de faire un bilan sur ce qui m’avait été utile cet hiver pour lutter contre le froid et la pluie :
- Les vêtements Heattech d’Uniqlo. Cette technologie permet d’avoir des vêtements fins mais chauds. De novembre à mars, j’ai porté presque tous les jours des tops Heattech. Je les avais en noir, écru et couleur chair, version débardeur, manches courtes et manches longues. J’ai également été ravie des chaussettes, j’en avais acheté 8 paires noires et fines. Seul bémol : elles s’abiment vite.
2. En matière de chaussures justement, ce sont mes boots Eram que j’ai le plus portées. Tout en cuir et plates, elles sont très confortables et vont avec toutes les tenues. Je mets un point d’honneur à résister aux Ugg, même si j’imagine que les bottines fourrées sont idéales pour allier confort et chaleur :
J’ai également aimé le petit côté rock et sophistiqué de mes boots Jonak :
3. Concernant les bonnets, j’ai essayé plus d’une fois mais je n’arrive pas à me sentir bien quand j’en porte. Je me tourne donc davantage vers les chapeaux, parfaits quand il pleut un peu et que je ne veux pas pour autant sortir mon parapluie :
Un chapeau camel Derhy avec une jolie chaîne noire.
Un chapeau noir BALSAMIK avec chaîne argentée.
Un chapeau kaki C&A.
4. Concernant les gants j’ai alterné entre mes longs gants en cuir Promod (quand les manches de mes manteaux sont un peu courtes) et mes gants en cuir matelassé Maison Fabre :
Enfin, concernant les manteaux, j’ai adoré mon nouveau manteau The Kooples :
Mais quand il faisait vraiment froid j’ai opté pour ma parka BALSAMIK et même pour une doudoune Derhy. C’est elle qui me tenait le plus chaud ; elle m’a plu parce qu’elle n’était pas trop épaisse et ceinturée, donc assez féminine. Mais je vous avoue que je ne l’ai que peu portée car je n’ai toujours pas réussi à me convertir véritablement aux doudounes, petit traumatisme des années 90 où on les voyait partout :
