Je suis allée à l’avant-première de Bad Moms par curiosité. Quand j’ai lu que ce film était écrit par les scénaristes de Very Bad Trip, j’ai eu quelques réticences… Mais le nom du film me plaisait, et je ne regrette absolument pas d’y être allée !
Voici la bande annonce qui reflète parfaitement la dynamique du film :
Synopsis
En apparence, Amy a une vie parfaite : un mariage heureux, de beaux enfants et une carrière qui décolle. En réalité, elle se met tellement la pression pour être au top sur tous les fronts, qu’elle est sur le point de craquer.
Au bout du rouleau, elle trouve comme alliées deux autres mères épuisées elles aussi par le stress des règles imposées par Gwendoline, la toute puissante présidente des parents d’élèves. Ces trois nouvelles meilleures amies se lancent dans une folle virée en quête de fun et de détente, loin de leurs responsabilités conventionnelles de mères de famille. Ce qui a tendance à crisper le clan de Gwendoline et ses mères parfaites…
J’ai aimé l’énergie dégagée par ces femmes, cette émancipation quand elles se rebellent et se révèlent de mauvaises mères. La scène au supermarché est géniale, ainsi que la réunion de mères de familles pour élire la représentante des parents d’élèves.
C’est la première fois que je vois un film avec Mila Kunis, et je l’ai trouvée excellente dans le rôle de la mère de famille débordée ! Comment ne pas compatir quand elle cumule les catastrophes en une journée, le tout ponctué par la découverte de son mari en train de la tromper sur internet. Mais elle sait rebondir, c’est le moins que l’on puisse dire.
Kristen Bell incarne la mère de 4 enfants complètement débordée, qui avoue rêver faire un séjour à l’hôpital pour qu’on s’occupe enfin d’elle.
Kathryn Hahn joue parfaitement la femme délurée qui n’a aucune limite.
Pensez à regarder le générique final : les mères des actrices y évoquent les souvenirs qu’elles ont avec leur fille.
C’est un film que je vous recommande, même si certains passages inutilement provocateurs auraient pu être oubliés… Ca doit être mon côté pudibond 
