Mode, art, ciné, culture : mes trouvailles de la semaine #131

Mode, art, ciné, culture : mes trouvailles de la semaine #131

Mode, art, ciné, culture : mes trouvailles de la semaine #131 Mode, art, ciné, culture : mes trouvailles de la semaine #131 Mode, art, ciné, culture : mes trouvailles de la semaine #131

Inès Longevial est une jeune peintre parisienne, à l’affiche notamment du dernier numéro de Paulette sur les jeunes artistes prometteurs. Prometteur son travail l’est en effet, pour celle, dont les corps et natures mortes aux tons naturels et quadrillés à la Paul Klee, s’affichent avec aisance sur instagram auprès de plus de 110K d’abonnés. Avec plusieurs beaux projets pour la rentrée, on est à peu près sûr de recroiser son camaïeu soigné.

@instagram : inèslongevial

Grizzly Bear, les ours préférés du rock folk américain reviennent avec un nouvel album, qui sonne aussi nostalgique qu’un rayon de soleil de fin d’été. Cela tombe bien, pour la rentrée, c’est tout ce dont on avait besoin.

Mode, art, ciné, culture : mes trouvailles de la semaine #131

J’ai découvert l’eshop Semaine grâce à la sélection d’Amélie Pichard (créatrice que j’adore) sur son compte instagram. Parce que Semaine, ce n’est pas un eshop comme les autres.

Intégrant tout à fait les nouveaux enjeux du storytelling dans le marketing, Semaine, comme son nom l’indique, nous propose chaque semaine le portrait d’une personne inspirante (créateur, artiste, entrepreneur, musicien…) avec chaque jour, un focus sur une catégorie en particulier. Lundi, sa tenue préférée, jeudi, ses livres, vendredi, ses voyages ect…À chaque fois, une vidéo ou une série photo pour accompagner, et bien sûr une sélection d’objets choisis par la personnalité, à shopper directement sur le site.

Pratique, inspirant et esthétique, voilà un shop particulier, qui comme son credo l’indique « forget the look, shop the life ».

120 battements par minute est film de Robin Campillo, sorti en 2017.

Paris, début des années 90, l’épidémie du SIDA fait rage et devant l’inaction des pouvoirs publics, un groupe d’activistes, Act-up Paris, se démène pour faire entendre la voix de ceux pour qui la situation ne s’améliore pas. Au milieu de toute cette rage et cette énergie, deux personnages, Nathan et Sean, l’un séropositif, l’autre séronégatif, vont se trouver, s’aimer, et se laisser emmener jusqu’au bout.

Film événement à Cannes et logiquement film phare de la rentrée, 120 BPM nous étourdit comme une longue nuit de fête au son de la délicieuse house d’Arnaud Rebotini, longue comme le combat que mène et continue de mener les malades du SIDA. Parce que s’arrêter c’est mourir, et parce que se taire c’est enterrer d’avance ceux pour qui le combat n’est pas terminé.
Des longues séances de réunions hebdomadaires, au moment d’extase des soirées, impeccable cadence de ce récit chorale referme peu à peu son étau sur l’histoire d’amour insensée de Sean et Nathan, aussi fatale qu’une tragédie grecque, dont on connaît la fin avant même d’avoir commencé, mais qu’on ne peut s’empêcher de voir consumer, jusqu’au bout de la nuit, jusqu’au bout de la vie. À la fin le noir et le silence, le film est terminé, et le souffle coupé, on ressort prendre une bouffée de vie à l’extérieur, en se disant que le combat, lui, ne se terminera jamais.


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