Réchauffement climatique ou pas, avouons que la pluie fait résolument partie de notre printemps et, qui sait, de notre prochain été.
En effet, je ne compte plus les « cochonneries » qu’on a pu m’offrir, me prêter ou pire encore que j’ai pu acheter : baleines tordues par le vent, toile à peine imperméable, ou encore la queue télescopique refusant de se « télescoper » ! Bref autant de mauvaises expériences poussent à se retrancher sur les capuches déperlantes mais peu élégantes.
Ça, c’était avant de découvrir la Maison Piganiol que j’ai rapidement ajoutée à ma liste, aux côtés du fameux parapluie. Comme bien des accessoires, faire une concession sur la qualité de son parapluie c’est choisir l’éphémère et il existe encore aujourd’hui un fabricant de parapluie doté d’un savoir-faire ancestral (maison fondée en 1884).
On n’imagine pas tous les savoir-faire que mobilise la création d’un parapluie digne de ce nom et des métiers afférents : le carcassier, l’aiguilletière (tous le processus de création décrit sur le site de Piganiol si cela vous intéresse en détails). A cette technicité répond évidemment qualité rare et exceptionnelle si bien que l’on comprend rapidement pourquoi Piganiol est sollicité par les maisons de luxe lorsqu’il s’agit d’assortir une collection d’un parapluie. Les modèles présentés sont d’une élégance intemporelle et ont séduit mon âme nostalgique. : poignées en bois, baleines robustes, toile en coton, poignée de berger ou arrondie, manche court ou long…
Il existe des modèles masculins et de modèles féminins et personnellement je rêve du parapluie de berger vert mais je vous rassure il en existe bien d’autres parapluies, tantôt aux coloris neutres, tantôt aux motifs audacieux.
Prix : à partir de 59 € / Fabriqué en France
